Par l’aimable entremise de Monsieur Abrassart et sur ses recommandations, je vous ai écouté presque religieusement durant 1 H 02 07 et ce que vous avez dit avec entrain et bénévolence n’a pu que retenir mon attention d’auditeur candide, qui voudrait tout simplement en savoir un petit peu plus.
Merci à vous et à Monsieur Abrassart d’avoir bien voulu essayer d’apporter à mes oreilles attentives et naïves une information sur ce sujet si intéressant, si difficile et si délicat, me semble-t-il!
Je vais me risquer à vous donner mon sentiment sur cette écoute et, d’ores et déjà, je vous prie de bien vouloir me pardonner si mon propos est un peu abrupt sans nuance et peut-être même déplacé. N’y voyez surtout pas une intention de nuire ou de vous mettre dans la difficulté! Bien au contraire, une apparente contradiction peut être un souci de comprendre au sens spinozien, si vous me permettez l’expression.
Je voudrais vous dire que le quatrième tome (4) de la Méthode d’Edgar Morin traite parfaitement de la chose avec maint développement qui permet une bonne compréhension de la vie des idées. Bien évidemment et il ne messied pas de le dire et redire que ce fut un grand plaisir de vous entendre mais au terme de ce laps de temps d’enregistrement, je me demande si je suis bien avancé…Je veux dire par là, le peu d’exhortation ressenti pour aller plus loin et surtout ne pas rebrousser ce chemin en tel pas au delà ou de côté!
J’eusse aimé peut-être ouïr des mots porteurs pour nous fortifier en telle quête inachevée…Des mots comme des réponses à l’abstraction prophétique
du projet politique français écrit pour Gavroche et Marianne.
Un projet politique qui connaît le vif du sujet et qui en appelle à une nouvelle idée civilisatrice germant quelque part dans un laboratoire non localisable.
N’est-ce pas à l’homme de laboratoire – l’expérience de Monsieur Aspect est aussi une quête – d’être cette étoile de guidance?
Je suis allé écouter Monsieur Staune et j’ai lu les propos de Monsieur Vékris.
Ce sont gens charmants mais pauvre de moi, je reste sur ma faim de sans-dents de la sphère ou hypersphère intellectuelle, Monsieur Magne!
Le monde est dur, et nous devons comprendre que chacun essaye de faire ce qu’il peut pour s’en sortir, à commencer par le souci de gagner son pain!
Mais comment dans la forêt des mots trouver le bon mot, le juste mot même, à même de nous désaltérer comme une éthique tombant des cieux, telle Agar dans le désert toute revigorée par l’échanson du ciel?
Cette question, c’est ma prière…Une prière qui vient vers vous.
Au bonheur d’une réponse en cantique, en chanson ou tout simplement par un mot qui soit en même temps poème et théorème, un seul mot à même de guérir notre âme ridée par le temps qui court…la raiponce même!
Je vous dis, cher Monsieur, toute ma respectueuse amitié.
J-C d l Bartherie
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Bonjour Monsieur Magne!
Par l’aimable entremise de Monsieur Abrassart et sur ses recommandations, je vous ai écouté presque religieusement durant 1 H 02 07 et ce que vous avez dit avec entrain et bénévolence n’a pu que retenir mon attention d’auditeur candide, qui voudrait tout simplement en savoir un petit peu plus.
Merci à vous et à Monsieur Abrassart d’avoir bien voulu essayer d’apporter à mes oreilles attentives et naïves une information sur ce sujet si intéressant, si difficile et si délicat, me semble-t-il!
Je vais me risquer à vous donner mon sentiment sur cette écoute et, d’ores et déjà, je vous prie de bien vouloir me pardonner si mon propos est un peu abrupt sans nuance et peut-être même déplacé. N’y voyez surtout pas une intention de nuire ou de vous mettre dans la difficulté! Bien au contraire, une apparente contradiction peut être un souci de comprendre au sens spinozien, si vous me permettez l’expression.
Je voudrais vous dire que le quatrième tome (4) de la Méthode d’Edgar Morin traite parfaitement de la chose avec maint développement qui permet une bonne compréhension de la vie des idées. Bien évidemment et il ne messied pas de le dire et redire que ce fut un grand plaisir de vous entendre mais au terme de ce laps de temps d’enregistrement, je me demande si je suis bien avancé…Je veux dire par là, le peu d’exhortation ressenti pour aller plus loin et surtout ne pas rebrousser ce chemin en tel pas au delà ou de côté!
J’eusse aimé peut-être ouïr des mots porteurs pour nous fortifier en telle quête inachevée…Des mots comme des réponses à l’abstraction prophétique
du projet politique français écrit pour Gavroche et Marianne.
Un projet politique qui connaît le vif du sujet et qui en appelle à une nouvelle idée civilisatrice germant quelque part dans un laboratoire non localisable.
N’est-ce pas à l’homme de laboratoire – l’expérience de Monsieur Aspect est aussi une quête – d’être cette étoile de guidance?
Je suis allé écouter Monsieur Staune et j’ai lu les propos de Monsieur Vékris.
Ce sont gens charmants mais pauvre de moi, je reste sur ma faim de sans-dents de la sphère ou hypersphère intellectuelle, Monsieur Magne!
Le monde est dur, et nous devons comprendre que chacun essaye de faire ce qu’il peut pour s’en sortir, à commencer par le souci de gagner son pain!
Mais comment dans la forêt des mots trouver le bon mot, le juste mot même, à même de nous désaltérer comme une éthique tombant des cieux, telle Agar dans le désert toute revigorée par l’échanson du ciel?
Cette question, c’est ma prière…Une prière qui vient vers vous.
Au bonheur d’une réponse en cantique, en chanson ou tout simplement par un mot qui soit en même temps poème et théorème, un seul mot à même de guérir notre âme ridée par le temps qui court…la raiponce même!
Je vous dis, cher Monsieur, toute ma respectueuse amitié.
J-C d l Bartherie