Bonjour,
Tout du long j’ai attendu les questions de l’auditoire… Quelle frustration !
Althaea OFFICINALIS dit :
La différence entre orgaste et orgasme était déjà d’actualité dans les années 90…
cette présentation est réductrice et stupide (et les petits rires irritants)
on laissera la « conférencière » à ces méditations orgasmiques imbéciles
et à son coaching juteux ( ?!)
Le monsieur qui fait la présentation – qui s’intéresse au clitoris et à la polygamie – ne donne pas son nom ?
Tombée dans la marmite sceptique in utero et avant
trouvailles du net : des podcasts sceptiques, chouette ?!
qu’on ne vienne pas arguer que je critique au nom de l’ordre moral…
Cette conférence à globalement largement déplu aux sceptiques présents. A l’époque, on a même hésité à la diffuser sur le podcast. Quand on organise Bruxelles SitP, parfois ont tombe juste, parfois on se plante…
Cordialement,
Jean-Michel
Althaea OFFICINALIS dit :
Voilà qui est dit et écrit : reconnaître une erreur est méritoire, mais souvent insuffisant…
Conserver le podcast en ligne a un intérêt historique certes, maintenant faire une publicité à ces pratiques plus que douteuses est problématique et contredit méchamment la ligne éditoriale.
Heureusement, plein de podcasts de qualité à découvrir sur SC² et des Sceptiques à rencontrer à Bruxelles dans un pub…
A bientôt !
Etant donné qu’au cours des années j’ai interviewé des spirites, des raëliens, des apologistes chrétiens, etc. je ne pense pas que cela « contredit méchamment la ligne éditoriale ». Si c’était le cas, je n’aurais tout simplement pas publié l’épisode! Le podcast ne donne pas la parole qu’à des sceptiques. Cela n’a jamais été sa ligne éditoriale, et cela ne le sera jamais. Il a là pour « donner à penser » aux sceptiques qui l’écoutent.
Cordialement,
Jean-Michel
Jido Surataké dit :
Bonjour à vous,
Bon, l’historique fait que je tombe sur cette page un peu par hasard.
En matière de sexualité et de sensualité, il me semble que l’éveil de soi et la connexion à l’autre ressortent toujours un peu de la magie, d’une « ambiance » qui permette de trouver une spontanéité sensible et joyeuse, avec à l’esprit un grand respect de soi et de l’autre qui permette d’ouvrir au partage les parts de soi les plus vulnérable et mystérieuses en incitant l’autre à faire de même. Toutes ces parts de nous-mêmes qu’il nous faut protéger en tous autres contextes.
Les petits rires me semblent traduire une certaine nervosité et pour moi ne sont en rien autre chose que les signes de la vulnérabilité, car il faut un certain courage pour s’exposer ainsi en s’exprimant de manière ouverte avec un esprit de partage et de témoignage de son intimité.
J’aimerais bien, Chère Althaea, que vous puissiez vous exprimer sur ces zones intimes de votre expérience de la sexualité afin d’en partager une compréhension plus « universelle » de cette dimension si complexe et maltraitée de la nature humaine.
Toutes les répressions ont visé cette liberté de soi car elle est fondamentale et non codifiable par des lois, hormis les dimensions d’assujettissement, d’aliénation et de perversion dans lesquelles l’autre devient objet du crime de possession et de destruction aboutissant à l’éclatement de son intégrité psychique. J’invite souvent, dans ce territoire d’observation de l’humain, à rapprocher les écrits de Hannah Arendt et de Wilhelm Reich (La peste émotionnelle). La pensée d’Hannah Arendt me semble rejoindre l’idée que dans une relation qui s’établit, nous sommes « solitaire et solidaire » (formule de Paule Salomon), quelque soit la profondeur de la relation.
Voir notamment : (Wilhelm Reich) https://www.cairn.info/la-violence-politique–9782749201184-page-113.htm, http://www.analisiqualitativa.com/magma/0104/article_01.htm
(Concernant Hannah Arendt, beaucoup plus connue, je laisse chacun, chacune trouver ses écrits ou analyses).
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Bonjour,
Tout du long j’ai attendu les questions de l’auditoire… Quelle frustration !
La différence entre orgaste et orgasme était déjà d’actualité dans les années 90…
cette présentation est réductrice et stupide (et les petits rires irritants)
on laissera la « conférencière » à ces méditations orgasmiques imbéciles
et à son coaching juteux ( ?!)
Le monsieur qui fait la présentation – qui s’intéresse au clitoris et à la polygamie – ne donne pas son nom ?
Tombée dans la marmite sceptique in utero et avant
trouvailles du net : des podcasts sceptiques, chouette ?!
qu’on ne vienne pas arguer que je critique au nom de l’ordre moral…
Signé une experte collaborative
Salut Althaea,
Cette conférence à globalement largement déplu aux sceptiques présents. A l’époque, on a même hésité à la diffuser sur le podcast. Quand on organise Bruxelles SitP, parfois ont tombe juste, parfois on se plante…
Cordialement,
Jean-Michel
Voilà qui est dit et écrit : reconnaître une erreur est méritoire, mais souvent insuffisant…
Conserver le podcast en ligne a un intérêt historique certes, maintenant faire une publicité à ces pratiques plus que douteuses est problématique et contredit méchamment la ligne éditoriale.
Heureusement, plein de podcasts de qualité à découvrir sur SC² et des Sceptiques à rencontrer à Bruxelles dans un pub…
A bientôt !
Bonjour Althaea,
Etant donné qu’au cours des années j’ai interviewé des spirites, des raëliens, des apologistes chrétiens, etc. je ne pense pas que cela « contredit méchamment la ligne éditoriale ». Si c’était le cas, je n’aurais tout simplement pas publié l’épisode! Le podcast ne donne pas la parole qu’à des sceptiques. Cela n’a jamais été sa ligne éditoriale, et cela ne le sera jamais. Il a là pour « donner à penser » aux sceptiques qui l’écoutent.
Cordialement,
Jean-Michel
Bonjour à vous,
Bon, l’historique fait que je tombe sur cette page un peu par hasard.
En matière de sexualité et de sensualité, il me semble que l’éveil de soi et la connexion à l’autre ressortent toujours un peu de la magie, d’une « ambiance » qui permette de trouver une spontanéité sensible et joyeuse, avec à l’esprit un grand respect de soi et de l’autre qui permette d’ouvrir au partage les parts de soi les plus vulnérable et mystérieuses en incitant l’autre à faire de même. Toutes ces parts de nous-mêmes qu’il nous faut protéger en tous autres contextes.
Les petits rires me semblent traduire une certaine nervosité et pour moi ne sont en rien autre chose que les signes de la vulnérabilité, car il faut un certain courage pour s’exposer ainsi en s’exprimant de manière ouverte avec un esprit de partage et de témoignage de son intimité.
J’aimerais bien, Chère Althaea, que vous puissiez vous exprimer sur ces zones intimes de votre expérience de la sexualité afin d’en partager une compréhension plus « universelle » de cette dimension si complexe et maltraitée de la nature humaine.
Toutes les répressions ont visé cette liberté de soi car elle est fondamentale et non codifiable par des lois, hormis les dimensions d’assujettissement, d’aliénation et de perversion dans lesquelles l’autre devient objet du crime de possession et de destruction aboutissant à l’éclatement de son intégrité psychique. J’invite souvent, dans ce territoire d’observation de l’humain, à rapprocher les écrits de Hannah Arendt et de Wilhelm Reich (La peste émotionnelle). La pensée d’Hannah Arendt me semble rejoindre l’idée que dans une relation qui s’établit, nous sommes « solitaire et solidaire » (formule de Paule Salomon), quelque soit la profondeur de la relation.
Voir notamment : (Wilhelm Reich) https://www.cairn.info/la-violence-politique–9782749201184-page-113.htm, http://www.analisiqualitativa.com/magma/0104/article_01.htm
(Concernant Hannah Arendt, beaucoup plus connue, je laisse chacun, chacune trouver ses écrits ou analyses).