https://www.scepticisme-scientifique.com/wp-content/uploads/2015/07/logo1-300x213.png00L'équipe Scepticisme Scientifiquehttps://www.scepticisme-scientifique.com/wp-content/uploads/2015/07/logo1-300x213.pngL'équipe Scepticisme Scientifique2013-08-24 22:25:382013-08-31 17:32:20Épisode #213: Les expériences de mort imminente sont-elles des faux souvenirs?
La page d’accueil contient un lien vers l’adresse de courriel de la neuropsychologue Mme Charland-Verville.
A nouveau, merci pour ce podcast et cet épisode qui m’a donné une estimation sur le degré de « réalité » de l’EMI (NDE en anglais) rapporté par les sujets.
Félicitations.
Très bonne continuation.
Cordialement.
phil le tico dit :
voilà mon expérience :
73 ans, évadé de mon contexte habituel de vie (de Bruxelles à climat torride (horrible) dans la Péninsule du Costa Rica), arrivant dans un état d’asthénie profond, j’ai vécu pendant des semaines un calvaire épouvantable (et le terme est mesuré) lors de chaque sortie d’assoupissement: il me fallait lutter, pire je crois qu’au moment de la venue au monde , afin d’émerger sans pourtant savoir pendant tout ce périple d’où je m’extirpais ni où j’étais ni l’instant où je me situais ni dans quel état ou lieu de ma vie j’étais ; Une angoisse indicible m’écrasait et me tenait recroquevillé et j’e me trouvais aux prises avec presque plus que l’instinct ou le besoin de rester en l’état, cad à l’abri de l’extérieur, et la nécessité de passer outre ce goulet d’étranglement quoiqu’animé progressivement par la certitude de l’inévitable mer de souffrances qui me roulerait ensuite sans recours, alimentées par mes constats de carences ,d’usures,de vacuité et des énormités irrattrapables des ratages relationnels qui, toujours bien camouflés pour m’en dégager , apparaissent autour de ces réveils au forceps ! Ce n’est pas le tunnel féérique dont parlent certains mais le ‘bien-être’ de l’inconscience et l’attrait de l’inatteingibilité qui m’aimantent ; aucun désespoir ni autisme: la lourdeur de la vie qui reste .
Ah oui : 14+2 = … autant de possibles que d’humains qui tentent leur différence
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Bonjour Monsieur Abrassart,
Pour les auditeurs/trices qui chercheraient l’adresse du COMA SCIENCE GROUP, l’adresse est ici :
http://www.coma.ulg.ac.be/
La page d’accueil contient un lien vers l’adresse de courriel de la neuropsychologue Mme Charland-Verville.
A nouveau, merci pour ce podcast et cet épisode qui m’a donné une estimation sur le degré de « réalité » de l’EMI (NDE en anglais) rapporté par les sujets.
Félicitations.
Très bonne continuation.
Cordialement.
voilà mon expérience :
73 ans, évadé de mon contexte habituel de vie (de Bruxelles à climat torride (horrible) dans la Péninsule du Costa Rica), arrivant dans un état d’asthénie profond, j’ai vécu pendant des semaines un calvaire épouvantable (et le terme est mesuré) lors de chaque sortie d’assoupissement: il me fallait lutter, pire je crois qu’au moment de la venue au monde , afin d’émerger sans pourtant savoir pendant tout ce périple d’où je m’extirpais ni où j’étais ni l’instant où je me situais ni dans quel état ou lieu de ma vie j’étais ; Une angoisse indicible m’écrasait et me tenait recroquevillé et j’e me trouvais aux prises avec presque plus que l’instinct ou le besoin de rester en l’état, cad à l’abri de l’extérieur, et la nécessité de passer outre ce goulet d’étranglement quoiqu’animé progressivement par la certitude de l’inévitable mer de souffrances qui me roulerait ensuite sans recours, alimentées par mes constats de carences ,d’usures,de vacuité et des énormités irrattrapables des ratages relationnels qui, toujours bien camouflés pour m’en dégager , apparaissent autour de ces réveils au forceps ! Ce n’est pas le tunnel féérique dont parlent certains mais le ‘bien-être’ de l’inconscience et l’attrait de l’inatteingibilité qui m’aimantent ; aucun désespoir ni autisme: la lourdeur de la vie qui reste .
Ah oui : 14+2 = … autant de possibles que d’humains qui tentent leur différence