Épisode #292: OVNI en Belgique
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Jean-Michel Abrassart et Jeremy Royaux discutent du livre « OVNI en Belgique : Contributions sceptiques ».
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Un épisode sympa et décontracté avec plein d’informations très intéressantes (et festives pour certaines :) ) Concernant OVNI en Belgique, l’opuscule, je l’ai reçu hier et je n’ai pas pu m’en décoller. Ca tombe bien, c’est la canicule et rester à l’ombre avec un bouquin est une bonne solution pour éviter les coups de chaleur. Mais c’est le contenu qui m’a particulièrement intéressé. Un contenu d’une grande richesse, d’une grande rigueur. Tous les arguments convergent démontrant que ce sont les ufologues et la presse qui ont créé cette vague en Belgique.
Message à tous les sceptiques :
Me considérant comme un demi-sceptique j’aimerai juste dire une chose à propos du scepticisme scientifique : c’est selon moi un mouvement très intéressant auquel j’adhère largement mais toutefois j’aimerai vous mettre en garde sur le fait de veiller à ne pas vous « borner » à vos idéaux. Je m’explique : comme tous le monde le sait, l’inconnu éveil souvent la curiosité mais effraie également (demander aux racistes…). Je proposerai ainsi d’ajouter à vos « démarches sceptiques » un questionnement personnel, s’interroger intérieurement sur les « barrières psychologique » que vous vous êtes peut-être établis consciemment, à votre insu ou que vous niez probablement. Ces barrières nuirait à l’objectivité des démarches puisqu’elles influencerait indéniablement votre acceptation de certaines choses, ce qui pourrait vous poussez à chercher à tout prix une « solution rationnel », ce qui serait un comportement analogue (mais inversé) à celui que vous critiquez (les uns acceptants ces « choses » (OVNI par exemple) en raison d’une certaine « euphorie » et vous les réfutant pour vous rassurer…)
Ce dont tu parles Marc, ressemble fortement aux différents biais cognitifs auxquels sceptiques et non sceptiques sont soumis. Seulement il semblerait que ce soit dans l’écrasante majorité les sceptiques qui font justement attention à ne pas user de biais cognitifs car lorsqu’on les connait, on les combat contrairement aux non sceptiques qui eux persistent à s’accrocher dans des croyances infondées, invérifiables et pour certains, préfèrent se fier à leurs sens, leur ressenti.